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 SANCTIONS INTERNATIONALES La famille Rajoelina privée de visa Schengen

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carmelo
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carmelo


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SANCTIONS INTERNATIONALES  La famille Rajoelina privée de visa Schengen Empty
MessageSujet: SANCTIONS INTERNATIONALES La famille Rajoelina privée de visa Schengen   SANCTIONS INTERNATIONALES  La famille Rajoelina privée de visa Schengen Icon_minitimeSam 8 Juin - 10:19

Source : http://www.lexpressmada.com
SANCTIONS INTERNATIONALES
La famille Rajoelina privée de visa Schengen


SANCTIONS INTERNATIONALES  La famille Rajoelina privée de visa Schengen Rajoel10
Le couperet tombe. La France concrétise son mécontentement. Des mesures coercitives sont prises depuis hier contre les candidats bannis.
LA pression monte d'un cran. La communauté internationale commence à prendre des sanctions à l'encontre de Andry Rajoelina, président de la Transition, de l'ancienne Première Dame Lalao Ravalo­manana et de l'ancien président Didier Ratsiraka.
Les autorités françaises ont abrogé les visas Schengen de Andry Rajoelina et de son épouse, Mialy. Les principaux concernés auraient été avertis de la décision. Lalao Ravalomanana et Didier Ratsiraka ne devraient plus non plus avoir de visa en cas de demande. La mesure s'étend à leur famille respective.
Un communiqué du ministère des Affaires étrangères français avait fait part de la « déception » de la France après l'acceptation de la validation des dossiers des trois candidats le 6 mai. Le Quai d'Orsay avait déploré la « rupture de l'engagement solennel de Andry Rajoelina de ne pas se porter candidat », et avait souligné le partage des
« regrets de la SADC ». Il avait lancé un appel aux acteurs politiques de « respecter les engagements pris vis-à-vis de la SADC », faisant entre autres, allusion au « ni...ni » entre le président de la Transition et l'ancien président Marc Ravalomanana.
La menace de sanctions internationales a commencé à être brandie ces derniers jours. Les partenaires techniques et financiers avaient discuté de la question lors du séjour de Leonardo Simao, membre de l'équipe de médiation de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC) du 27 mai au 4 juin. Selon certaines indiscrétions, il
s'agit d'une décision concertée, mais c'est la France qui l'a matérialisée en premier. Des doutes commenceraient également à planer sur l'impression des bulletins uniques en Afrique du Sud.
Les partenaires techniques et financiers exigent le retrait des trois candidats à la course à la magistrature suprême. Mais après l'échec du tour de force à l'issue de la réunion d'Ivato, la situation reste bloquée, alors que le temps
s'égrène avant le premier tour des présidentielles. Pour l'instant, la date du 24 juillet reste effective, dans la mesure où le décret de report du scrutin pour le 23 août provoque encore un débat et n'est pas encore signé.
Irrégularités
À l'allure où vont les choses, la série de sanctions pourrait tomber en cascade en cas de maintien des trois candidats à la course à la magistrature suprême. Leonardo Simao avait prévenu avant son départ que les partenaires techniques et financiers ne cautionnent pas les « irrégularités » dans l'établissement de la liste des candidats, en se référant à la décision de la Cour électorale spéciale (CES) du 3 mai.
Le diplomate mozambicain avait indiqué la tenue des réunions internationales pour « faire un bilan » de la situation. C'est le cas du Sommet de la SADC, prévu les prochains jours à Maputo ou encore la réunion du Groupe international de contact (GIC) le 26 juin à Addis-Abeba. Il avait averti de la prise des « mesures d'encouragement ou pour se retirer du processus malgache », à
l'issue des rendez-vous.
Ange Andrianarisoa, chef de délégation de la mouvance Ratsiraka « regrette » la décision de la France. « On verra la suite », se contente de réagir l'ancien président de l'Assemblée nationale.
L'Union africaine avait déjà pris des sanctions
contre 109 dirigeants de la Haute autorité de la Transition le 17 mars 2010. Les sanctions, qui ne sont pas encore levées, comprennent des restrictions sur les visas, le gel de comptes bancaires et des refus d'accréditation auprès d'organisations internationales.
À l'époque, l'organisme panafricain avait voulu mettre la pression sur le régime « unilatéral » de Andry Rajoelina pour renouer avec le dialogue, après sa décision de rompre avec les Accords de Maputo. Mais la série de mesures n'avaient pas été appliquée d'une manière effective et uniforme de la part des partenaires techniques et financiers. Une source diplomatique glisse que la communauté internationale « se trouve sur une même longueur d'ondes » pour durcir le ton.
Iloniaina Alain
Samedi 08 juin 2013
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